Verruyes (79) :
  -Le 24 février 2002 :

 La Touche Poupard (79) :
  -Du 17 au 18 juin 2002 :

Malgré une canicule, Guillaume et moi décidons d'aller à la Touche Poupard 2 jours de suite (la pêche de nuit n'étant pas autorisée, du moins pas encore...) sur notre lieu favori. Nous avons eu une multitude de petites tapes (les poissons chats) et seulement 4-5 départs pour 2 carpes de 2k250 et 2kg500.

 Etang privé au Chillou (79) :
  -Du 24 au 25 juin 2002 :

	23 juin à 22h30 : nous sommes installés prêt à faire feu pendant 2 jours.
	25 juin dans l'après-midi : nous étions cernés... heureusement nous avons pu sauver la glacière.
	Ayant épuisé les réserves, nous nous sommes attaqués au bouillettes.
	Voilà ce qu'on peut faire avec de la vase !
	Après l'effort, le réconfort.

 Etang à Saint Etienne de Cuines (73) :
  -le 1^er août 2002 :

Sachant que le gérant du restaurant lance du pain pour les canards et que c'est les carpes qui le mangent, je décide d'escher ma ligne au pain. Le résultat ne se fait pas attendre, la canne juste posée un départ se produit et je ramène une carpe miroir bien grasse de 3kg.

 La Barre (79) :
  -Du 16 au 18 août 2002 (48h) :

Ma carpe de 3kg5 prise à 4h15 la première nuit.

Me revoici à la Barre pour de nouvelles aventures. Nous arrivons vers 15h30 et décidons de s'installer au bout de l'étang près de Cédric déjà là depuis la veille. A 17h30 nous sommes prêt à faire feu. Cédric et moi décidons de dormir dehors à cause de la chaleur, nous sommes à peine couchés alors que le premier départ a lieu sur une de mes cannes, il est 22h20 et je sort un carpeau de 1kg250 assez nerveux. A 23h10, nouveau départ sur une autre canne et une carpe de 2kg vient rejoindre le carpeau. Une heure plus tard Cédric sort une carpe de 4kg très nerveuse. Nous dormons un peu puis je suis réveillé à 4h15 par mon détecteur sur la même canne et une carpe de 3kg5 rentre dans l'épuisette. Je n'ai même pas le temps de la peser (il est 4h25) qu'un nouveau départ se produit, cette fois-ci sur ma canne de gauche et une carpe de 2kg vient compléter notre belle série qui s'achèvera cette nuit-là par une autre carpe de 2kg prise à 4h45 par Cédric. Bilan positif pour ma première nuit,     5 départs, 4 carpes (car j'ai eu 2 départs à quelques secondes près à 22h20 et la deuxième carpe s'est décroché...).

Le matin du 17 août, Cédric et moi plaçons nos 4 montages chacun dans un canoë avec quelques graines, bouillettes et pellets, puis allons à pied pousser le canoë jusqu'à nos deux repères. Cédric décide alors de changer de poste et de tendre 2 de ses lignes devant l'île. La journée est calme comme d'habitude malgré quelques tapes. Le soir je me prépare pour ma dernière nuit : je déplie mon parapluie et installe mon lit de camp (car Cédric est parti s'installer devant l'île où il avait mis ses lignes le matin), je retends mes lignes comme le matin et me voilà prêt. Le début de la nuit fut assez calme chez moi, tandis que les cannes de Frédéric et Mickaël avaient déjà partis à deux reprises. Je commençais à m'endormir quand un départ fulgurant me fait bondir de mon lit, il est 23h35 et mon détecteur de droite ne s'arrête de sonner qu'au moment où je ferre la canne. Je commence à ramener mon poisson avec Frédéric et Mickaël quand tout à coup, un nouveau detécteur sonne, cette fois ci chez Cédric. Cédric ne sort pas alors Mickaël ferre une carpe qui se décrochera pendant que ma carpe glisse dans l'épuisette à Frédéric. Puis le peson rend son verdict : 4kg5. Ce sera la dernière et la plus grosse carpe de la session. Je me recouche tout content puis je m'endort à peine quand un nouveau départ se produit sur une des cannes à Cédric. Je m'extirpe de mon duvet puis ferre la carpe qui se débat bien. Frédéric arrive et je lui passe la canne puis je vais essayer de réveiller Cédric. Malgré tout mes efforts, je n'ai pas pu sortir Cédric de sa profonde léthargie (ou hibernation, comme vous voulez) pourtant j'ai tout essayé mais il dormait. Le reste de la nuit sera calme pour moi et Cédric, alors que deux nouveaux départs se produiront sur les cannes des deux acolythes (Frédéric et Mickaël). Le lendemain, Cédric se rendra compte de ce qui la louper... Dans l'après midi, nous rangeons nos affaires puis partons dans la soirée. Bilan très positif. Rendez-vous l'année prochaine...

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